Voici les techniques avancées pour bien construire un prompt sur la version 7 de Midjourney. Un guide dédié aussi bien aux débutants qu’aux utilisateurs avancés.
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Pour bien prompter sur la version 7 de Midjourney, il est essentiel de structurer ses requêtes autour de trois axes : le sujet, le contexte (lieu, action), et le style (texte, image, moodboard, SREF). Cette méthode permet de mieux contrôler l’image produite et d’éviter les interprétations automatiques du modèle.
Midjourney repose sur des archétypes visuels issus de ses données d’entraînement. Ainsi, certains mots-clés comme “cowboy” ou “wizard” déclenchent des représentations par défaut (chapeau, barbe, etc.). Pour s’en détacher, il faut contourner ces termes et décrire précisément l’apparence souhaitée. À l’inverse, exploiter volontairement l’archétype permet de simplifier un prompt et de gagner en efficacité.
Pour optimiser ses résultats, il est crucial de formuler des descriptions concrètes, visuelles et précises. Les termes ambigus, abstraits ou sensoriels (sons, odeurs, concepts flous) doivent être évités. Midjourney traite chaque mot comme une tâche à accomplir, donc plus un prompt est clair et épuré, plus le résultat sera fidèle.
Enfin, certains types de mots sont particulièrement efficaces dans un prompt : textures, couleurs, formes, environnements, styles artistiques ou photographiques, noms d’artistes, techniques, époques ou types d’œuvres. L’objectif est d’orienter l’IA visuellement, en se concentrant sur ce qui peut réellement apparaître dans une image.
0:00 – Introduction
00:39 – Structure de prompt
03:29 – Prompt archétypal
11:42 – Se faire comprendre du bot
16:45 – Demander ce qu’on veut
22:36 – Conclusion